ITA

Fino a non molti anni fa, quando ancora si utilizzavano le vie di lizza per far discendere il materiale escavato fino alle strade, i blocchi dovevano essere sottoposti a riquadratura direttamente sul piazzale di cava. Per riquadrare il blocco occorrevano molte ore di lavoro, a volte più di una giornata di uno o più operai, con alti costi di lavorazione. Quando il blocco presentava un volume eccessivo, doveva essere sezionato in più parti e, prima dell'introduzione del filo elicoidale, si faceva ricorso a rudimentali seghe a mano, sul tipo di quelle usate dai boscaioli, e azionate da due uomini, uno di qua e uno di là dal blocco, con duro, estenuante, e monotono lavoro. Un lavoro interminabile, affidato alla lenta penetrazione nel blocco della lama, la quale non si avvaleva della dentellatura, ma della miscela di rena ed acqua versata via via nel solco del taglio. Questa primitiva e semplice operazione, già svolta in epoca romana dai cosiddetti sectores serrarii, continuò per secoli e non fu mai del tutto abbandonata neanche quando, a partire dal '700, entrarono in funzione le segherie ad acqua (azionate da ruote mosse da energia idrica) prima, quelle azionate da motori a vapore ed elettriche poi.

FR

Dans le passé, lorsque l’on utilisait encore les rues de "lizza", pour faire descendre les blocs de marbre jusque dans le valle, ils devaient être soumis à un équarissages directement sur la place de carrière. L’équarissage du bloc de marble nécessitait de nombreuses heures de travail, et des coûts de traitement élevés. Quand le bloc était trop volumineux, il devait être coupé en plusieurs parties et, avant l’introduction du fil hélicoïdal, on utilisait des scies à main rudimentaires, similaires à celles utilisées par les bûcherons, et actionnées par deux hommes, un de chaque côté du bloc, avec des mouvements monotones et épuisants. Un travail interminable, confié à la lente pénétration de la lame dans le bloc et au mélange de sable et d’eau versé progressivement dans le sillon de la coupe. Cette opération primitive et simple, déjà réalisée à l’époque romaine par les sectores serrarii, continua pendant des siècles et ne fut jamais complètement abandonnée même lorsque, à partir du XVIIIe siècle, les scieries à eau (actionnées par des roues mues par l’énergie hydrique) entrèrent en fonction, et ensuite les scieries entraînées par des moteurs à vapeur et électriques.